Les outils visuels de gestion de projet rendent de grands services et reposent sur une tradition établie. De plus, il existe une certaine parenté entre le mind-mapping et ces outils (utilisations plus ou moins large de graphes). Mais, dans ce domaine, l’excellence du mind-mapping intervient ailleurs. Il ne s’agit pas de gérer un projet mais d’en éclairer beaucoup d’aspects avec un jeu simplifiant de questions adaptées à chacun de ces aspects.

Baliser un projet

La légèreté est notre premier apport, car cette légèreté facilite l’exploration, que ce soit en amont ou pour examiner un détail particulier ou connexe, comme pour prendre du recul.

L’autre apport vient de la multiplicité des angles d’attaque, multiplicité qui incite à faire le tour du sujet en se dégageant de la stricte logique du projet lui-même.

Multiplier les éclairages

Deux catégories de maps spécifiques sont à disposition :

Pour la gestion de projet, ces maps peuvent servir à élaborer un programme ou des outils de suivi, comme pour animer des réunions et favoriser l’information et la mobilisation des acteurs. Penser aussi aux facilités d’archivage et donc de capitalisation que le permet mind-mapping.

Enrichir la périphérie du projet

Un projet repose sur des compétences et consiste à conduire des actions. Or ThinkMapping propose des maps, aussi bien pour mobiliser et conforter des compétences, que pour préparer, puis mener des actions.

Trois rubriques méritent particulièrement d’être explorées dans la gestion de projet :

  • le « Management » qui réunit tous les savoir-faire de base
  • les « Tâches quotidiennes » pour bien gérer chaque élément du travail
  • la « Gestion de carrière » car il faut aussi savoir sauvegarder ses propres intérêts et ceux des acteurs, faute de quoi on se laisse emporter par l’action …

Et puis garder une idée en tête, les canevas sont faits pour servir de modèles de départ, mais à adapter à chaque cas. A chaque projet sa propre batterie de maps !